Mes autres poèmes
Dépouillés de leurs armes
Ils ne sont rien ces brutes
Pires que des animaux
Dépouillés de toute humanité
Hier ils violent cette petite Congolaise
À deux reprises en dix jours
Leurs pénis pointés comme leurs fusils
Deux armes de torture orgueil de ces imbéciles
Ces grands inutiles violent et battent
Ces attardés ont-ils une mère
Ces crapules ont-ils des enfants
Ont-ils un cœur humain
Je vois toute la douleur
Dans les yeux de cette Congolaise
Je sens sa souffrance
Je vibre à sa tristesse
Qui arrêtera ces brutes
Qui les jugeront
Quelle prison les attend
De grâce enlevez leurs armes
Délivrez-nous de ces brutes
Ils ne sont rien ces brutes
Pires que des animaux
Dépouillés de toute humanité
Hier ils violent cette petite Congolaise
À deux reprises en dix jours
Leurs pénis pointés comme leurs fusils
Deux armes de torture orgueil de ces imbéciles
Ces grands inutiles violent et battent
Ces attardés ont-ils une mère
Ces crapules ont-ils des enfants
Ont-ils un cœur humain
Je vois toute la douleur
Dans les yeux de cette Congolaise
Je sens sa souffrance
Je vibre à sa tristesse
Qui arrêtera ces brutes
Qui les jugeront
Quelle prison les attend
De grâce enlevez leurs armes
Délivrez-nous de ces brutes
1 commentaire:
Toute l'horreur des sales guerres!Des animaux, pire que des animaux...comme tu le soulignes dans ton poème.
Non, cette drôle d'engeance ne mérite point l'étiquette d'humain!
C'est plaisant de te lire à nouveau, toi qui arrives frais et reposé du Vietnam avec une caisse de nouveaux poèmes dans tes valises et dans ta tête!(rires)
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