Quand je pense à notre mère
Cette Florence toujours souriante
Qui nous dorlotait du matin au soir
Qui aimait d’un inconditionnel amour
Toute sa nombreuse et turbulente tribu
Qu’elle avait
enfanté au fil des ans
Que des heures de travail et de tendresse
Que de souffrances camouflées
Que de va-et-vient imposés à ses pauvres jambes
Pleines de varices et de callosités
Notre mère Florence joyeuse et espiègle
Qui savait trouver le rose où le noir gisait
Qui faisait la sourde oreille à l’ingratitude
Qui jamais ne se lamentait sur son sort
Notre indispensable mère irremplaçable
Tu nous manques cruellement
Tu vis dans nos souvenirs
Jamais nous ne t’oublierons
Non jamais
Jamais
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